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un matin idéalBonjour à tous mes petits rongeurs lubriques. Voici une petite histoire tout droit sortie de mon hémisphère sud, j'espère qu'elle vous plaira, quelle vous excitera, et surtout que vous prendrez du plaisir à la lire. J'en ai déjà écris une dizaine de pages, voici les deux premières.Comme d'hab j?attends vos critiques et encouragements dans vos coms. Bonne lecture à vous.Lundi matin, les stones se mettent à jouer ?*sympathy for the devil? à 5h tapante. Je rêve ou il me font un concert privé? Bien sûr que je rêve, c'est juste l'alarme, on est pas dimanche abruti? Je reste allongé encore 5 minutes, le temps de les entendre entamer le refrain, le temps de me dire*: putain ces mecs, ils envoient encore du lourd comment je serai moi à 70 balais? Concert privé terminé, deux pieds au sol. Trouver le point d'équilibre est pas évident surtout après ces 2 jours de fêtes, enfin plutôt ces 2 jours d'ivrognerie. Descente des escaliers non sans mal. Cafetière direct dans le viseur, préparation du nectar salvateur de tout bon fêtard*: on dévisse la soucoupe volante, on rempli d'eau, on revisse, on rempli de café colombien, on tasse un peux, on ferme, on met sur le gaz, et la on attend comme un con devant. Bien sur vous allez me dire, ? il peux pas s'acheter une George Clooney*?? , ben non j'aime le vrai café, celui qui embaume la maison de son odeur, celui qui brûle les lèvres et qu'on attend patiemment. Tasse remplie, direction le balcon. J'ouvre le volet roulant, me jette sur la première chaise venue, le jour n'est pas encore la, même lui a droit à plus de repos que moi. Alliée incontournable du pur arabica, la camel. Je laisse couler quelques gouttes de café brûlant dans ma gorge, coince le filtre entre mes lèvres, fait rouler la pierre du briquet sous mes doigt, approche la flamme, tire une grande bouffée. Le mélange des deux saveurs et exquis, fort et doux à la fois, s'en suit une sensation de bien être instantané. 5h30, petit tour sur les réseaux bakırköy escort sociaux. Conneries habituelles. Un n'est pas content parce qu'on lui a foutu un pv parce qu'il roulait à 90, un autre râle de ses impôts, une a baladée son chien hier, l'autre a mangée des frites, enfin bref rien de bien excitant?5h40 Tiens une lumière s'allume l'immeuble juste en face, un autre lève tôt. Je replonge dans mon téléphone. Consultations des mails du week-end. Factures, banquier qui veux me voir, client qui attend mon devis, fournisseur qui sera en retard de livraison? retour à la réalité. 5h50, troisième clope, ou j'ai foutu mon briquet*? A le voilà par terre. Je recule un peut ma chaise, me penche sur le côté pour le ramasser, sortant la tête de mon écran 2 secondes. Je remonte, allume mon poison divin en fermant les yeux, ça me tue, mais qu'est ce que c'est bon. En soufflant la fumée , je rouvre les yeux, en direction de la fenêtre de mon collègue de réveil. Électrochoc, léger sursaut sur ma chaise, comme quand on commence à s'endormir devant un film. Je dissipe le nuage de fumée d'un revers de la main, ouvre bien grand mes yeux. C'est vraiment ce que je crois*? Mais oui je ne rêve pas cette fois. Mon collègue de réveil, est bien une collègue. Elle est dans son salon, de ce que je vois, elle fait comme moi, une tasse à la main. Elle s'approche de la baie coulissante, entr?ouvre un brin, ne tire pas le rideau. Elle se dirige vers une table basse, se penche pour att****r quelque chose. Je ne vois pas bien, elle me tourne le dos. Elle se redresse au bout de dix secondes, et j'aperçois un nuage de fumée. Tiens, une addicte comme moi. Elle sait ce qui est bon. Je souri. Ce qui est bon aussi, c'est elle. La voir, ou plutôt l'observer , émerveille mon réveil.5h55, je laisse se mettre en veille mon smartphone. Je regarde, j'analyse, je profite de ce vis-à-vis qui d'habitude m'insupporte. Elle est toujours là, le dos vers moi. Tenue beşiktaş escort de nuit, une nuisette pour être précis . Rouge. Un rouge éclatant. Ça brille. Sûrement de la soie, ou du satin. Assez courte, elle laisse apercevoir de belles jambes bien galbées. Elle a l'air assez grande pour une femme, environ 1m70, peut être 1m75, dur avec la distance. Elle a sûrement un cul bombé, ça se voit à l?écartement que prend la lisière de son habit. Rousse. Cheveux mi long, ondulés, mais j'avoue assez mal peignés ça rebelle par ci par là. 6h Bon aller, assez rêvassé, direction la salle de bain. Je me lève, écrase mon mégot. Bing*!! Ça faisait longtemps, en me retournant j'envoie valdinguer ma tasse. Elle ne casse pas, prévoyant de mes maladresses récurrentes, elle est en inox. Elle rebondi 4 ou 5 fois pour venir finir sa course contre la murette du balcon. Je la récupère. Le bruit tintant à fait se retourner cette belle voisine. Elle s'approche de la vitre, me fixe du regard, me souri, détourne ses yeux, ferme sa vitre, et me regarde encore un cour instant, avec son sourire aux lèvres, avant, de me murmurer, j'imagine, un bonjour.6h01. Je tend ma main pour la saluer, et souri comme un niai. Je suis en admiration. Je continue mon analyse. Je dirai la cinquantaine. Je distingue mal son visage, je peux juste dire qu'il est souriant, sûrement de belles lèvres pulpeuse pour que je le remarque aussi bien. Je porte mon regard plus bas. La pas besoin de jumelles. Une poitrine imposante, elle est incontournable. Moulée à la perfection dans cette nuisette, je peux même deviner de gros tétons raidi par la fraîcheur du matin. Je reste sûrement bloquer de trop, lorsque je redresse mon regard, son sourire à disparu. Elle tourne la tête allonge son bras, att**** le rideau et le tire pour occulter complètement la vue. Pas grave, je suis aux anges. En fait je me rend compte que sans en avoir conscience, je bandé à moitié, et que ma main c'était beylikdüzü escort posée dessus mon caleçon. Peut être l'a telle remarquée, et à pris ça comme une offense? Aller zou je me bouge.6h05 douche sommaire brûlante, brosse à dents, peigne, déo je vous laisse imaginer le reste. 6h20 la semaine commence fort, déjà un bon quart d'heure de retard. Bon c'est pas grave, ce matin seulement quelques dépannages de prévu, l'avantage d'être son patron, ne pas se prévoir des lundi trop ardus. Encore une tasse de café et la dernière clope du matin, ensuite diète jusqu'à midi, j'essaie de ralentir un peut. Petit coup d'?il en face, le rideau est toujours fermé, je distingue juste des allé venue derrière par ombre chinoise. 6h30 le cul dans l'express, je prend mon calepin, premier rendez-vous à 7h30 à 1h30 d'ici, mission impossible, va encore falloir risquer quelques points du permis sur le trajet. J?active le poste sur ma playlist favorite, première enclenchée, me voilà parti. Tour du bâtiment tranquille pour sortir du parking, pas bon de brusquer mon vieux, et fidèle , moteur à froid, puis le quartier s'anime, faudrait pas écraser un innocent de bon matin. Je laisse traverser devant moi un petit groupe de lycéen, qui se dirige vers l'arrêt de bus. Je n?y prête pas vraiment attention, mes pensées sont déjà au travail. Je me relance, coup sec sur le frein*! Ouf je l'avais pas vu la retardataire, c'était moins une*! Je m'excuse de la main. C'est elle*! La voisine*! Elle me souri à nouveau. Secoue sa main comme une italienne, l'air de me dire attention à ce que fait sinon? je lui rend un sourire. Le jour à pointé son nez. Je me suis trompé sur son âge, mais pas sur sa taille. Elle a plutôt dans les 55, 60 ans. Tenue de working girl. Jupe noire, au genoux. Veste noire bouton fermée à moitié. Chemisier blanc, col strict. Elle a clairement des seins énormes*! Je pense 95E facile. Cette fois je fait attention de ne pas bloquer de trop. Sa main semble désormais me dire au revoir. Je lui rend la pareille. Elle fini de traverser, pour rejoindre elle aussi l'arrêt de bus. Je la regarde s'éloigner, un vrai cul de déesse grecque, mouler à la perfection par sa jupe, fendue sur le côté. Aller j'avance, go go go. Voilà, à vous de décider mes coquins, suite ou pas.